J’ai couru de Metz à Lille pour te violer, mais
tu fais ton chochotte tout l’ temps, donne-moi ton corps ou
j’vais m’ taper tout c’ qui passera pour m’ fair’ les nerfs et
tu r’ gretteras encore de pas t’être laissé faire !! Donc
couches-toi là : t’as qu’à fermer tes yeux très fort or
pour plus m’ voir je peux te prendre par derrière. Ni
Jesus ni Marie ne pourront m’arrêter, car :
j’ai l’amour qui pousse comme
une grosse bombe puisque
tu veux pas de moi lorsque
j’ai un peu bu trop quand
tu parles à quelqu’ un que
je ne connais pas.

Si
je prends du bromure ça devrait me calmer, mais
vu qu’ je cours encore ça n’ a pas l’air d’marcher ou
bien c’est parc’ que j’espère tellement te piocher et
t’entendre piailler tête dans l’oreiller donc:
joue pas les cadors: tu es mon p’ tit Kiki, or
un Kiki ça s’ tord , faudra qu’ tu serres encore, ni
les flics, ni la loi ne pourront m’arrêter car:
j’ai l’amour qui pousse comme
une grosse bombe puisque
tu veux pas de moi lorsque
j’ai un peu trop bu quand
tu parles à quelqu’un que
je ne connais pas.

Si
tu préfères, un jour je t’offrirai des fleurs, mais
je mettrai les tiges dans ton postérieur, ou
je mettrai les clous d’ ton slip vers l’intérieur, et
tu pourras chanter comme un vrai hard rocker. Donc,
laisses-toi enfin faire, dis-toi que tu t’endors, or
c’est loin d’être vrai, tu vas danser plus fort : ni
Godzilla, ni King-Kong ne m’arrêteront car :
j’ les ai pris hier comme
une grosse bombe puisque
tu veux pas de moi lorsque
j’ai un peu bu trop quand
tu parles à quelqu’un que
je ne connais pas.