LE TRAIN VA PARTIR, NEUF HEURES…
NINA SIMONE SOURIT…
COMME UN CERISIER DES CHANTS PLUVIEUX.
DÉJÀ NEUF HEURES?
QU’ATTENDAIT NINA?
QU’ATTENDAIS NINA? NINA , LÀ?
SANS ELLE LE QUOTIDIEN N’A QUE LA VERTU
D’UN GRAND CONTRASTE AVEC LA VIE.
VOLENT LES PÉTALES.
TON AUTOMNE COULE, RIVIÈRE ADORÉE.
CERISIER JAPONAIS.
L’HIVER VOLE LES FLEURS.
ELLE VIENNENT D’AILLEURS, FRAGILES, LES FLEURS.