Je me promène avec Pascal, le long des lignes encrées sur la page.
Dans ses dédales cérébrales, je vois des signes qui m’emmènent en voyage.
Pascal,
je suis bien dans ton bocal, j’ai tout le gris qui détale.
Effeuille-moi les pétales.
Pascal,
mon solitaire au large, partons en voyage.
Nos rêves dans la marge.
Pascal, tu me mets le feu au cul avec ta poésie,
tes maths et ton physique.
Pascal,
c’est parce que tu es quelqu’un que c’est devenu quelque chose.
Oh, Pascal : tu m’excites!
Pascal
a l’encyclopédie comme livre de chevet,
qu’il vienne m’achever!
Pascal
a l’esprit délicat des hommes élégants aux moeurs raffinés.
Pascal,
j’ai pas le vocabulaire pour te dire la tendresse,
je préfère tes fesses.
Pascal,
si tu m’aimes aussi,
dis-le-moi très très vite,
j’ai peur de désirer.