L’ennui victorieux, plein de salive, avale des cigarettes, sourit, devant les bras baissés, devant la vaisselle qui s’empile, devant la télé.
Encore des insomnies comme lignes de fuite.

Encore des dérapages dans la gorge malade.
Il n’ y a rien de pire que l’amour installé,
il donne à l’esprit l’illusion qu’il n’y a plus rien à faire.