Sous un toit sombre, le monstre domestique.
Le labyrinthe et ses échos métalliques
chante crépusculaire,
attire sous ses effluves ferrugineux
l’éclat de la vue qui brûle au sol.

Les cicatrices du vrai s’affairent aveuglées
dans le ventre chaud du temple
éclaboussé par de luminescentes paillettes.

Vallée de la Fensch.