La flamme danse un bout de vie
et quand le vent faiblit
la cire refroidit
tout l’opéra est dans la cendre
le bal s’arrête et les espoirs vont au Grévin se rendre.
Il faudrait un feu plus puissant encore
pour faire fondre le corps
de ce qui n’a pas encore abouti
dans un moule solide qu’aucun vent n’aura détruit.